La combustion humaine spontanée
Un corps s'enflamme, soudainement, sans raison apparente. Au cours des trois siècles derniers, ce sont près de 200 cas de ce phénomènes mystérieux qui ont été recensés. Personne n'est en mesure d'apporter une explication rationnelle.
Caractéristiques de la combustion spontanée:
-80% des victimes sont des femmes
-généralement, seuls la tête et/ou les membres subsistent; les vêtements ainsi que la pièce dans laquelle se trouve le corps restent intactes
-la plupart des personnes touchées sont vulnérables (alcooliques, dépressifs, adolescents, personnes âgées vivant seules...)
-les victimes baignent dans une huile jaune
Le premier récit relatifs remontent au 17è siècle. En 1671 à Paris, un alcoolique notoire brûla sur sa paillasse, intégralement, à l'exception de la tête et de l'extrémité des doigts. La paillasse resta intacte. Depuis, la police explique de tels cas par l'inflammation de gaz qui se forment chez les alcooliques. Mais cette hypothèse ne tient plus aujourd'hui, ces manifestations étant trop fréquentes.
Comment est-il possible qu'un corps brûle intégralement sans pour autant embraser son environnement?
Tous les cas de combustions spontanées font clairement apparaître une source de chaleur intense, mais les victimes ne succombent pas à une mort par le feu classique: elles se consument littéralement et ne meurent ni d'asphyxie ni de leurs brûlures. Il ne reste véritablement de ce corps calciné qu'un petit tas de cendres. Au fil du temps, les scientifiques ont avancé plusieurs hypothèse pour expliquer l'inexplicable. Pour certains, la consommation excessive de boisson saturerait les cellules du corps en alcool de sorte que la moindre flamme, par exemple celle destinée à allumer une cigarette suffirait à enflammer le buveur. Des expériences menées sur de la viande imbibée d'alcool n'ont toutefois pas confirmé cette hypothèse. D'autres chercheurs attribuent ces combustions à des boules de feu. Mais cette théorie se voit également infirmée dans le sens où l'énergie contenue dans une boule de feu est beaucoup trop faible.
Des scientifiques reconnus soutiennent que la combustion spontanée n'existe pas. Le corps étant constitué principalement d'eau, il lui est, selon eux, impossible qu'il brûle de la sorte.
Les victimes de ce phénomènes se consumeraient telles des bougies: les vêtements faisant office de mêche, et la graisse corporelle, de cire. Selon Larry Arnold, c'est ainsi que l'on pourrait expliquer la présence de cette huile jaune autour des corps. De plus, il est acquis que les corps brûle intégralement. Mais ce n'est jamais le cas, même lors des crémations, il reste toujours des os intacts. Larry Arnold explique que, tout d'abord, une chaleur suffisante pour brûler la graisse corporelle est dégagée. Puis intervient l'effet de mêche qu amènerait le corps à se consumer sur une longue durée, jusqu'à ce qu'il n'en reste rien. Une température de 800°C appliquée sur une longue période parvient à détruire même les os. Mais comment expliquer que certaines parties commes les jambes, l'extrémité des doigts ou la tête restent intactes? Selon Arnold, la réponse est simple: la flamme brûle vers le haut, jamais vers le bas.
Caractéristiques de la combustion spontanée:
-80% des victimes sont des femmes
-généralement, seuls la tête et/ou les membres subsistent; les vêtements ainsi que la pièce dans laquelle se trouve le corps restent intactes
-la plupart des personnes touchées sont vulnérables (alcooliques, dépressifs, adolescents, personnes âgées vivant seules...)
-les victimes baignent dans une huile jaune
Le premier récit relatifs remontent au 17è siècle. En 1671 à Paris, un alcoolique notoire brûla sur sa paillasse, intégralement, à l'exception de la tête et de l'extrémité des doigts. La paillasse resta intacte. Depuis, la police explique de tels cas par l'inflammation de gaz qui se forment chez les alcooliques. Mais cette hypothèse ne tient plus aujourd'hui, ces manifestations étant trop fréquentes.
Comment est-il possible qu'un corps brûle intégralement sans pour autant embraser son environnement?
Tous les cas de combustions spontanées font clairement apparaître une source de chaleur intense, mais les victimes ne succombent pas à une mort par le feu classique: elles se consument littéralement et ne meurent ni d'asphyxie ni de leurs brûlures. Il ne reste véritablement de ce corps calciné qu'un petit tas de cendres. Au fil du temps, les scientifiques ont avancé plusieurs hypothèse pour expliquer l'inexplicable. Pour certains, la consommation excessive de boisson saturerait les cellules du corps en alcool de sorte que la moindre flamme, par exemple celle destinée à allumer une cigarette suffirait à enflammer le buveur. Des expériences menées sur de la viande imbibée d'alcool n'ont toutefois pas confirmé cette hypothèse. D'autres chercheurs attribuent ces combustions à des boules de feu. Mais cette théorie se voit également infirmée dans le sens où l'énergie contenue dans une boule de feu est beaucoup trop faible.
Des scientifiques reconnus soutiennent que la combustion spontanée n'existe pas. Le corps étant constitué principalement d'eau, il lui est, selon eux, impossible qu'il brûle de la sorte.
Les victimes de ce phénomènes se consumeraient telles des bougies: les vêtements faisant office de mêche, et la graisse corporelle, de cire. Selon Larry Arnold, c'est ainsi que l'on pourrait expliquer la présence de cette huile jaune autour des corps. De plus, il est acquis que les corps brûle intégralement. Mais ce n'est jamais le cas, même lors des crémations, il reste toujours des os intacts. Larry Arnold explique que, tout d'abord, une chaleur suffisante pour brûler la graisse corporelle est dégagée. Puis intervient l'effet de mêche qu amènerait le corps à se consumer sur une longue durée, jusqu'à ce qu'il n'en reste rien. Une température de 800°C appliquée sur une longue période parvient à détruire même les os. Mais comment expliquer que certaines parties commes les jambes, l'extrémité des doigts ou la tête restent intactes? Selon Arnold, la réponse est simple: la flamme brûle vers le haut, jamais vers le bas.